LE COMTE PERVERS
|
Un jour, comme il faisait chaud, en cette journée d'été de l'an de grâce 1672, le Comte Victor de Castelbrejac eut l'idée d'aller se baigner à la rivière pour se rafraichir. - Pourquoi t'enfuis-tu, demanda la Comte en caressant les belles boucles blondes de la jeune fille, Tu es si belle ... - ... vous me ... troublez, je vous prie ... - Aha, je te trouble ? ria le Comte, Mais n'est-ce pas toi qui m'observait jusqu'à céans ? Ne me trouves tu point séduisant ? Et le Comte prit alors la main de la jeune fille et la lui posa sur son sexe gonflé et turgescent. Au contact de cette chair masculine, la jeune fille voulut retirer sa main, mais le Comte l'encouragea à le caresser et la jeune paysanne sentit étrangement un besoin viscéral très fort d'aller plus loin, d'expolrer les zones les plus sensibles de ce Comte si bien membré ... en clair, elle voulait au fond d'elle-même se faire déflorer par cette verge experte et expérimentée. - Ma grosse bête a faim de toi, murmura le Comte à l'oreille de la jeune fille - Ne vous méprenez pas, Monsieur le Comte, jeta la paysanne d'un regard froid, je ne sui pas une fille aussi facile que vous semblez le croire ... Et aussitôt, la paysanne glissa sous le corps de son amant noble, et s'empara de la hampe dressée qui battait entre deux grosses cuisses poilues et l'engloutit pratiquement à moitié. Le Comte fut surpris et râla de plaisir tant le fourreau délicieux de cette bouche juvénile expédiait un fort soulagement dans ses terminaisons nerveuses. La jeune paysanne réglait alors sa fellation sur la respiration saccadée du Comte, agaçant par moment le gros gland empourpré d'une petite langue agile ; les caresses de ses lèvres charnues et le titillement frénétique de son petit appendice buccal ne mirent guère de temps à faire jouir le Comte, lui arrachant ainsi un long soupir rauque, tout en le laissant se vider de sa semence au fond de sa gorge ... |